Une Caresse Passionnelle

Une Caresse Passionnelle

Retour d’une soirée entre amis

Il y a quelques semaines, nous rentrions d’une soirée entre amis. C’était un moment agréable, et nous ne voulions pas que cet instant finisse. A bord de notre véhicule, nous avons atteint la banlieue de Lyon, nos amis n’habitant pas très loin de Villefranche-sur-Saône nous décidons avec Sophie de nous balader un peu en voiture. Cela devait être vers minuit lorsque les rues de la ville étaient toujours remplies comme chaque vendredi soir. La ville semblait vivante en cette nuit sombre, les néons éclairaient les magasins et les lampadaires jetant des longues ombres sur la route. C’était différent d’un jour ou d’une journée de travail, c’est la nuit où vous vous sentez en vie, tous les instants étaient remplis de promesses et d’interdits.

Sophie avait une jupe portefeuille que j’aimais beaucoup pour la façon dont vous pouviez apercevoir ses jambes dans certaines circonstances, un débardeur de la même couleur que la jupe laissant deviner la forme de ses seins et une paire de bas et de talons aiguilles. Je portais un pantalon foncé qui correspondait à ma chemise et à mon pull mais trés chic pour une soirée chez des amis.

Une caresse inattendue

Tout en roulant Sophie pose une main sur ma nuque caressant mes cheveux de façon des plus agréables. Elle se tourne vers moi, sa main droite caresse alors ma cuisse doucement. Peu à peu ses gestes se font plus appuyés, plus coquins, plus aimants. Je sens alors sa main caresser peu à peu mon sexe, quelque peu tendu, à travers mon pantalon. Nous continuons à discuter comme si de rien était. Sa main gauche descend le long de ma nuque, de mon torse pour se retrouver sur mon sexe de sorte que ses deux mains me caressent fermement. Elle remonte vers ma ceinture et  commence à défaire quelques boutons pour  passe sa main à l’intérieur de mon pantalon. Ma douce, très câline, sent tout de suite l’envie que j’ai d’elle, et le désir qui m’habite ! Je la laisse très volontiers me caresser au-dessus de mon caleçon...

Au coin d’une rue…

Après quelques minutes de ces douces caresses je lui propose de m’arrêter car la conduite devient dangereuse avec cette montée incontrôlable de désirs.  Au détour d’une rue, nous tombons sur un quartier pavillonnaire qui se termine en cul de sac. Je me gare le long d’un jardin appartenant à une belle maison résidentielle. Sur notre gauche la maison est cachée par une grande haie de sapins et sur notre droite la route est bordée d’un talus sur lequel passe une voie de chemins de fer. Je m’arrête, éteins les feux et le moteur de ma voiture. Je me tourne vers ma belle pour l’embrasser, la toucher, la regarder et profiter de ce moment intense.

Sa main caresse toujours mon sexe en érection alors que de l’autre elle entreprend de me déboutonner complètement mon pantalon. Une fois son œuvre terminée elle ne garde qu’une main entre mes cuisses et de l’autre me caresse les cheveux, le visage tout en continuant de nous embrasser. Ne voulant pas la laisser sans douceur, je porte ma main entre ses cuisses. J’y découvre une chaleur importante signe de ses envies. Très vite mes doigts glissent sous son string pour se retrouver au contact de son intimité. Je lui applique sans hésiter des caresses qui, je le sais, la porteront vers de nombreux plaisirs. Mes doigts se promènent entre ses lèvres toutes humides et son clitoris.  Pendant que sa main passe sous mon caleçon pour saisir mon envie déjà débordante.

Nous nous embrassons de plus en plus goulûment, de façon qui choquerait sans aucun doute la pudeur. Sophie se détache de moi petit à petit et me glisse à l’oreille de la voix la plus sexy qui soit, et qui me donne des frissons : - Laisse toi faire... Je ne réponds rien, elle retire mes doigts de son sexe, descend mon caleçon et mon pantalon puis m’embrasse passionnément. Sa main droite me caresse sans retenue dans une accélération permanente. Sa bouche se détache de la mienne, Sophie me regarde puis se penche sur mon sexe. Elle y applique tout d’abord quelques baisers dont elle seule a le secret. Sa bouche vient prendre délicatement mon pénis qu’elle fait glisser de haut en bas. Quelle sensation unique et si voluptueuse que sa bouche, ses lèvres épousant parfaitement mon désir. Ses vas et viens sur moi sont indescriptibles tant le plaisir qu’elle me procure est immense. Je sens par ces gestes toute l’envie et tout l’amour qu’elle me porte.

Au bout de quelques minutes, je la relève et l’attire à moi pour l’embrasser et  mieux lui signifier  le plaisir qu’elle me procure. A peine ai-je eu le temps de savourer sa bouche que déjà elle est repartie à me sucer violement.

Un inconnu passe….

C’est dans ce moment délicieux qu’une voiture arrive en face de nous, je préviens Sophie, qui plutôt que de se relever décide de continuer. Quel bonheur infime de voir passer une voiture à nos côtés alors que Sophie m’applique la plus belle des fellations  que je n’ai jamais connu. La voiture en face nous a-t- elle remarqué, vu ? Je n’en sais rien mais cela décuple notre envie. Tour à tour Sophie entreprend d’alterner les vas et viens sur mon sexe et les baisers sur ma bouche. Cela dure de très nombreuses minutes, vingt peut-être trente ? Sophie sentant mon excitation monter décide alors d’accélérer une dernière fois. Ses caresses sont plus que divines je me laisse envahir par cette vague de plaisir jusqu’à jouir sans plus de retenue. Le bonheur qui m’habite alors est infini que j’ai envie de crier au monde à quel point je l’aime !

Après tant de plaisir reçu, je décide de porter ma main vers l’entre jambes de ma belle experte. Elle arrête ma main et me dit : - Tu auras tout le loisir plus tard, tu as aimé ? - J’ai adoré, j’avais très envie que tu me suces comme ça - Moi aussi cela fait longtemps que j’en avais envie, je le ferais plus souvent - Avec joie ! - Rentrons vite que je te laisse atteindre mes charmes.

Nous reprenons alors le chemin de notre maison où nous passerons une nuit endiablée, l’amour à fleur de peau !

Cet article a été publié par Clotilde Hélianthe