Libido

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 Libido, un mal pour un bien !

Leitmotiv des recherches du psychanalyste Freudien, la libido est l’énergie interne en tant que facteur déclenchant de l’envie sexuelle. Bien plus qu’une simple recherche du plaisir, ce sixième sens se caractérise pleinement par le débordement d’une énergie sexuelle amenant pour l’homme comme pour la femme aux pulsions intimes.

Bien loin du simple fantasme qui peut être utile pour en augmenter la quantité, elle est dans la sexualité l'élan vital  du désir sexuel de l’un pour l’autre. Dissocié du sentiment amoureux, il reste présent et se cultive sous peine de disparaitre un peu, beaucoup, sans pour autant atteindre le seuil de la folie.

Cette perte de désir sexuel ou de libido est appelée anaphrodisie. C’est avec l’âge et l’entrée dans la quarantaine que ce symptôme prend toute son importance. Les femmes, dont la gestion des hormones est plus complexe que l’homme, sont souvent les plus inquiétées par cette baisse du désir, car la libido est la résultante de sécrétions d'hormones sexuelles.

Dès la puberté, cette concentration d’hormones entre en éruption et commence à aiguiser les sens du jeune sujet. Testostérone, œstrogène et progestérone sont au coeur du désir intime et permettent la libération des caractères sexuels secondaires, directement liés au cerveau. Celui-ci émet un message hormonal qui met en ébullition le comportement sexuel et permet d’actionner le mécanisme du désir.

La testostérone est la première hormone qui se distingue dans le processus de la libido. Mais d’autres jouent aussi un rôle essentiel. Les œstrogènes du début de cycle chez la femme sont facteur d’envie et de désir de sexualité - instinct de reproduction exige.

Pourtant les hormones ne sont pas les seules responsables d’une grande ou de l’absence de plaisir. D’autres aspects de la vie quotidienne telle qu’alimentation, activités, situation psychologique et environnementale ont aussi la main mise sur votre envie de faire l’amour. Une vie saine et équilibrée favorise une libido dynamisée. C’est le moment de se mettre au vert ! Abécedaire dans votre boutique.

Baisse de libido, les remèdes…

Cette baisse a souvent diverses origines. L’androgène, qui devient pauvre en testostérone, est un des facteurs les plus connus en prenant de l’âge. Elle est considérée comme plus fréquente chez la femme, l’homme n’y échappe pas et souffre fréquemment, en plus, à des difficultés d’érection.

Reste à savoir si la première induit l’autre ou vice versa. Cela provoque des troubles du comportement et de l'humeur, rendant l’homme irritable. En relation avec de la fatigue physique, la libido faiblit et se retranche parfois au sein  de troubles dépressifs mineurs. Cette absence de joie de vivre a une répercussion sur la vie sexuelle de l’homme, mais aussi de sa conjointe qui souffre de ce manque de sexualité.

Pour pallier ses déboires, il existe dans chez une vaste gamme de désinhibiteurs, stimulants, euphorisants et aussi aphrodisiaques aux multiples vertus. La prise de ces substances naturellement aphrodisiaques est capable de stimuler le désir sexuel. Bien connus, gingembre et chocolat trônent en maîtres dans le panel des énergétiques.

Les aphrodisiaques de notre boutique coquine sont plus spécialement orientés et formulés pour déjouer la routine tout en pimentant le quotidien. Ils permettent de retrouver une libido forte et une redynamisation de l’érection. Idéales pour doper les performances sexuelles, c'est sous forme de cure qu’ils sont le plus durable et efficaces.

Les crèmes aphrodisiaques, plus temporaires, permettent de gérer un manque de libido à l’instant T. Facilement utilisables, elles offrent la possibilité de pallier une baisse d’activité sexuelle en offrant un plaisir de quelques heures. Expérience à renouveler !

Moins naturel, dans le cas de pathologie lourde où l’absence de désir est totale, un traitement hormonal médical du déficit androgénique est cependant possible. Mais celui-ci est possible uniquement si l’absence de libido est liée à l'âge, et si et seulement si le taux de testostérone est bas. Toutefois, en plus de ces impératifs, des contre-indications absolues existent. Ce traitement est incompatible avec un cancer de la prostate ou du sein,  une teneur en globule rouge important dans le sang.

L’adénome à prolactine, tumeur de l’hypophyse qui produit une trop grande quantité d’hormone appelée prolactine, est aussi contre indiqué à ce traitement médicamenteux. Traitement important, il se compose d’injections intramusculaires d’ Androtardyl associées à une prise de comprimé de pantestone et des applications de gel Androgel. Ce traitement de la libido demande une surveillance tous les trois mois pendant la première année puis deux fois par an l'année suivante, ensuite tous les ans. Une décision qui ne doit pas se prendre à la légère !

Libido et ménopause, aphrodisiaque ou anaphrodisiaque ?

La ménopause est un instant crucial dans la vie d’une femme. Pendant cette période, elle est sujette aux bouffées de chaleurs, à un changement hormonal radical et parfois aussi à des  troubles du sommeil. Si la femme est toujours en activité, un surmenage dû au travail est aussi facteur de stress et de nervosité qui ne favorise en rien une libido expressive et présente.

Cet état de cause est bien souvent le lot des femmes ménopausées qui ont beaucoup de mal à donner, mais aussi à prendre du plaisir. En effet, l’excitation sexuelle est dépendante du système parasympathique qui agit sur la sensation de repos du système nerveux.

Pour pallier à ce manque temporaire, il est nécessaire d’adopter la zen’attitude. Prenez du temps pour vous afin de vous recentrer et de découvrir ce nouveau corps de femme avec ses tenants et ses aboutissants. Offrez-vous des moments de détente et complétez par la prise de remèdes phytothérapiques et homéopathiques.

Cette métamorphose des habitudes quotidiennes aide à surmonter ce grand changement qu’est la ménopause qui entraine des pathologies nouvelles comme la sècheresse vaginale. La chronologie des rapports change aussi et affecte également les relations de couples.

Mais ce constat n’est pas une évidence. En effet, chacune vit son corps à sa manière et il est joie de constater que certaines femmes s’offrent une seconde jeunesse après la ménopause en se découvrant une sexualité dont elles auraient eu connaissance avant ce gigantesque changement. Une formidable occasion de vivre de nouveaux instants X !

Libido et médecines douces, ça marche ?

Aide précieuse pour trouver des solutions aux aléas sexuels des femmes comme des hommes, l’homéopathie, contrairement à l’allopathie avec le vgra, propose des solutions alternatives. Elle a l’intérêt de prendre en compte la cause sans uniquement se baser sur l’effet. Ella a aussi comme grand intérêt d’éviter les effets secondaires, ce qui rend possible l’automédication.

Trop souvent, les patients souffrant d’une baisse de libido ne pensent pas aux médecines alternatives ou à l’emploi d’aphrodisiaques de sexshop qui sont confectionnés par des laboratoires qualifiés et fabriqués à partir de substances naturelles. 

De plus, comme l’indique le connu homéopathe, le docteur Dominique Jean Sayous, l’homéopathie est efficace pour les troubles sexuels, le manque de désir, l'impuissance, l’éjaculation précoce … La libido, soumise aux aléas de la vie quotidienne se traite facilement avec des granules et améliore l’état de fatigue et de stress pour la stimuler.

Pour la doper, Lycopodium  et Kalium carbonicum pour Monsieur. Graphites et Sépia pour remédier à la baisse du côté féminin sont généralement conseillés dans les ouvrages adaptés.

Pour accentuer le plaisir sexuel du couple et assurer la satisfaction sexuelle au quotidien, l’homme se munira encore de Lycopodium et la femme de Kalium bromatum afin d’augmenter la sensibilité des muqueuses génitales et de mieux ressentir le contact du pénis qui glisse dans la cavité vaginale.

L’absence de désir résultant de plusieurs facteurs chez la femme, elle aura au choix pour les troubles du désir entre Sépia, pour le manque de désir lié aux troubles quotidiens se minimise et Ignatia alors que le dégout pour les rapports sexuels demande Natrum muriaticum.

Puisqu’elle rime aussi avec orgasme, une meilleure maitrise de l’expulsion des secrétions  masculines s’améliore avec Agnus Cactus et Natrum Muriaticum.

La femme qui souffre d'absence d'orgasme se trouve retranchée dans une libido appauvrie. Pour y remédier et stopper la simulation de l’orgasme pendant l’acte sexuel, l’atteinte du plaisir est facilitée par Actea Racemosa et Natrum Muriaticum.

Vivre une sexualité pleine et enrichissante tout en dynamisant le désir avec une alimentation équilibrée, une vie plus saine, des sextoys et aphrodisiaques ainsi que des médecines douces et à la portée de toutes et de tous. Profitez-en ! 

Cet article a été publié par Lili Prune