Anilinctus et Analingus

Anilinctus et Analingus

Anilinctus et analingus, quelles différences ?

Bien trop souvent confondus, sites X et blogs spécialisés font l’erreur de confondre l’anilinctus et l’analingus. En effet, l’anilinctus, connu aussi sous les appellations anuslingus, feuille de rose ou pétale de rose est une pratique sexuelle qui consiste à lécher l’anus de son ou sa partenaire.

L’analingus quant à lui, consiste à pénétrer l’anus avec la langue pour pratiquer une sodomie plaisante et jouissive dont la profondeur d’intromission dépendra du degré de complaisance de chacun. Dans les deux cas, ces activités sexuelles sont considérées comme des jeux buccaux anaux très jouissifs !

Autrefois pratiqués au sein des couples homosexuels, ils sont aujourd’hui plus présents dans les couples qui veulent étoffer leurs jeux intimes. Nouveau concept de la chambre à coucher, les jeux de fions ont encore de beaux jours devant eux ! Découvrez-vous  spéléologue de surface ou de profondeur et posez-vous la question … Anilinctus ou analingus, à vous de choisir dans notre sexshop ?  

Envie de nouveauté, l’anus porte conseil !

Souvent banni des jeux érotiques, l’anus revient en force dans la sexualité des couples depuis une dizaine d’années. La zone anale incluant le périnée est une zone très érogène très fertile d’émotions au contact du doigt ou du sexe, mais également, et dans une autre mesure, à celui de la langue. Celle-ci est sans nul contexte, après le clitoris, l’endroit le plus innervé du corps humain, mais concernant la femme et l’homme cette fois-ci !

Authentique préparation à la sodomie, l’anuslingus se meut physiquement et psychologiquement à l’intromission du pénis dans le rectum. Ce pétale de rose est une pratique facile et non honteuse qui offre la possibilité de relaxer le partenaire et de détendre son anus. Associé à la salive et ses propriétés lubrifiantes, virer vers analingus ne tient qu’à quelques centimètres de langues et aux désirs de chacun. Un anus trop sec peut aussi etre lubrifier avec un lubrifiant comestible.

Pratique courante dans les jeux scato, l’analingus et anilinctus y sont la poussés à l’extrême. Dans un cadre érotique, il n’est nullement obligatoire de lécher ou de manger de l’excrément, mais simplement de découvrir pour l’un comme pour l’autre, une sensation érotisante nouvelle et plaisante. Envie d’en user ? Léchez !

L’anuslingus, osez un acte sexuel très tendance

Toujours en recherche de nouveau plaisir, l’être humain est friand d’innovation intime. Comme tout animal, il arrive au fur et à mesure de l’âge et de certaines prises de conscience que tout n’est pas mal et dégoutant. Prenant en compte son statut de mammifère et de sa différence, il s’offre une multitude de façons d’arriver au summum de ses envies sexuelles.

Le psychanalyste Sigmund Freud n’a-t-il pas cité  que c’est du sexe que dérivent toutes les conséquences proches ou lointaines des agissements de l’être humain. C’est pour cette raison que l’homme profite du délice de recherche intime pour découvrir de nouvelles pratiques sexuelles comme l’anuslingus.

Celui-ci est bien plus qu’un simple préliminaire, car conjugué avec l’anilinctus, il devient à lui seul un acte sexuel complet qui comprend préliminaires et rapport intime avec à la clé un orgasme intense et diversifié. Popularisé, l’engouement pour l’analingus tend à le banaliser et à en faire un petit plus de la relation conjugale. Ce rapport bucco-anal qui met en contact la bouche du est un acte qui peut rebuter de prime abords.

Mais souvent, après un premier essai concluant avec un partenaire qui soigne son hygiène, l’envie d’aller plus loin dans la découverte est plus que présente. Il en va de soi que l’excitation de l’anus du partenaire passif se transmet dans l’organe buccal de la lécheuse qui excite cette zone érogène.

Souvent controversés dans la mise en avant des pratiques sexuelles, l’analingus et l’anilinctus ont, malgré les nombreux adeptes, très mauvaise presse. Bien qu’elle soit au centre de nombreuses curiosités, cette pratique qui consiste à exciter oralement l’anus reste tabou et souvent psychologiquement interdite dans les esprits.

L’éducation ou la religion aidant, le fait de jouer avec son orifice rectal heurte les fondements moraux et les limites du tabou. Outrageant pour certains, l’anilinctus bouscule les mœurs chez beaucoup de partenaires. Toutefois, il reste accessible à tous ceux qui souhaitent l’essayer. Et vous, tentée ?

Pratiquer analingus et anilinctus, mode d’emploi !

Pour que tous les partenaires jouissent fortement de cette activité anale peu banale, il est important de bien connaitre les mécanismes et les notions de base indispensables à un plaisir commun. Tout d’abord, il est important, pour comprendre la terminaison de l’anuslingus, de prendre en considération que la zone anale est aussi érogène que le clitoris.

De ce fait, la pratique de la feuille de rose se fera avec désir et délicatesse. C’est avec la langue qu’il sera intéressant de jauger le ressenti du partenaire le recevant. Cela marque aussi le dépassement de soi et instaure chez l’autre un climat de confiance en sachant que le côté « sale » est mis de côté. 

D’un point de vue purement technique, c’est en instaurant une relation de confiance et un dialogue constructif que vous pourrez aller au bout de vos envies. En effet, qui mieux que chacun pour connaitre son véritable désir. N’hésitez pas à guider ou à vous faire guider pendant l’acte afin de prendre confiance en vous. Il n’y a pas de méthode type pour lécher ou pénétrer l’anus du conjoint avec la langue.

Si vous êtes terriblement tentée, passez la barrière de l’hésitation et allez-y franchement. Si l’envie se fait ressentir, mais que le désir est embrumé de craintes, pratiquez tout d’abord l’anilinctus crescendo afin de déterminer vos limites. Votre partenaire s’en délectera et vous laissera maitresse de la situation en vous laissant tous loisirs de percer son petit trou avec votre langue ou pas !

Anilinctus et analingus, quelles sont les conséquences ?

Après avoir passé la barrière psychologique du bien et du mal qui laisse interrogative depuis les préceptes de notre enfance, il est néanmoins recommandé de connaitre les risques affairant à ces pratiques sexuelles, et mêmes paraphilies ! L’hygiène intime et le rapport à l’excrément sont évidemment le facteur numéro un !

Même si l’excitation sexuelle diminue le jugement de tout à chacun, les faits sont là. Et l’anus, comme tout autre organe génital est source de risques de MST, mais également de transmission de maladies liées à l’excrément lui-même. C’est pour cette raison que notre sexshop vous invite à ne jouer qu’avec un partenaire sain qui soigne particulièrement son hygiène intime.

Dans le cas contraire, il est vivement conseillé de s’abstenir. Avec un partenaire occasionnel, l’usage de protection intime buccal est une solution. Un préservatif coupé en deux dans le sens de la longueur peut aussi faire l’affaire ! Dans tous les cas, même si le contact bucco anal reste une activité plaisante et un très bon prélude à la sodomie, L’hygiène anale doit être suffisante et surtout satisfaisante pour que tout le monde y trouve son compte.

Dans une autre mesure, il est souvent possible que l’un des deux amants ne veuille se prêter au jeu du pétale de rose. Dans cette alternative, anilinctus et analingus ne sera que relégué au rang des fantasmes et ne pourra se découvrir, peut-être, plus tard à force d’amour et de dialogue.

Cependant, loin de vous les idées reçues comme quoi le contact avec l’anus est sale ou répugnant. Si vous avez envie d’essayer avec un partenaire consentant, faites-le ! Car comme il est bien connu de dire… Dans le sexe, il n’y a rien de sale ; la seule chose qui est sale, c’est de ne pas le laver !  

Cet article a été publié par Lili Prune